Music-is-life

Raconte-moi une chanson...

Mardi 29 juin 2010 à 19:48

Ca fait maintenant sept heures et quinze jours
Que tu as emporté ton amour.
Je sors tous les soirs et je dors toute la journée.
Depuis que tu es parti je peux faire ce que je veux.
Depuis que tu as emporté ton amour
Je peux voir qui voir qui je veux
Je peux dîner dans un restaurant chic
Mais rien,
J'te dis rien, n'ôte cette mélancolie.
Car rien n'est comparable
Rien n'est comparable à toi.

[...]
Rien ne peut empêcher ces larmes de solitude de tomber.
Dis moi Bébé, où j'ai fauté.
Je pourrais mettre mes bras autour de tous les garçons que je vois
Mais ils ne feraient que me rappeler toi.
Je suis allée chez le médecin, devine ce qu'il m'a dit
Devine ce qu'il m'a dit.
Il m'a dit "tu devrais essayer de t'amuser quoi que tu fasses".
Mais c'est un imbécile.
Car rien n'est comparable à toi.

[...]




Je crois que tout est dit dans la chanson.

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(car pas de code embed dispo)




Mardi 29 juin 2010 à 1:35

Et cette rivière de sentiments qui continue à couler en moi. Les torrents de larmes. Un fleuve d'amour dont la source ne tarie jamais. La  dangereuse cascade du désespoir me guette et se rapproche. C'est sans issue. La chute vertigineuse est incontournable. Et je me noie dans toute cette haine.


Hopelessly, I'll love you endlessly.





Mardi 22 juin 2010 à 23:06

La peur au ventre de tout laisser derrière moi, bien sûr que je l'ai. La hantise de n'avoir aucun avenir à mon retour, elle plane au dessus de ma tête. La crainte de ne pas avoir le temps d'aimer durant les deux prochaines années, elle est omniprésente. Mais j'ai décidé de provoquer le bonheur. Y en assez d'être apprentie-vivante. Je pars, pour une vie de rencontres. Je pars pour d'autres paysages, d'autres décors, d'autres visages. Je pars pour rire en anglais, pour chanter en espagnol, pleurer en italien, m'émerveiller en allemand, rêver en scandinave. Je pars pour être dignement jeune. Je pars, car c'est pas à 50 ans que je plaquerai tout pour le bout du monde. Je risque gros, mais j'aurai crevé d'avoir vécu.




Nothing's gonna stop me.




Lundi 14 juin 2010 à 22:53

Le concert me plongeait dans une totale félicitée, quand soudain Ils ont joué les premières notes de Starlight .  J'avais beau être noyée dans une foule de 80 000 personnes, en cet instant je me suis sentie cruellement seule. Tu me remplissais du vide que tu as laissé derrière toi. Ton absence à ce concert  me pèse si lourdement. Partager Muse, comme nous le faisions si joliment à l'époque, toi et moi!
Starlight, cette chanson au goût de larmes et d'inachevé. Cette mélodie qui résonne comme une plainte dans mon coeur. Car je n'ai jamais connu de plus grande douleur que de te perdre. Cette chanson c'est toute nos ruptures. Cette chanson, c'est tout notre amour et notre haine, toute notre rage et notre bêtise. Cette chanson qui sonne comme un adieu qui ne viendra jamais réellement. J'aurais tant voulu que tu sois là, dans ces gradins, à mes côtés. J'aurais tant voulu te sentir vibrer en même temps que moi au son de ce groupe que nous aimons tant.

Je voudrais tant serrer ton corps une dernière fois.

Hold you in my arms. I just wanted to hold you in my arms.



Dimanche 23 mai 2010 à 21:13




L'alcool qui s'insinue lentement dans tes veines.
Tes membres qui s'engourdissent.
Tes paupières closes.
Ton esprit qui flotte en dehors de ton corps.
L'enivrement, la transe.
Ta tête gracieusement renversée en arrière.
Ta chevelure qui tombe en cascade le long de ton échine.
Ta bouche entrouverte.
Tes soupirs imperceptibles.
Ta gorge docilement offerte.
Et les mouvements de cet homme en toi...

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