Music-is-life
Raconte-moi une chanson...
Mardi 21 décembre 2010 à 12:19
Lundi 20 décembre 2010 à 14:01
[ J'ai donné une lettre à Harry McVeigh, le leader des White Lies, qu'il m'a fait l'immense plaisir de lire, en ajoutant que j'avais la plus belle écriture qu'il ait jamais vu!
A la fin de la lettre, je lui ai donné l'adresse de ce blog, en précisant que j'y parlais beaucoup de son groupe. Il ne viendra probablement jamais y jeter un coup d'oeil, mais bon, je m'autorise à rêver, en lui adressant ici quelques lignes. ]
Dear Mr McVeigh (I would have called you this way last Friday, if I wasn't so afraid to make a fool of myself by pronuncing your surname!),
La Flèche d'Or's gig was like a dream. As I already told you, it was one of the best nights of my life. First of all, I would never have dreamed of you reading my letter. And above all, I'd have never dreamed to get the chance of talking to you directly. You guys are so kind, so modest, so generous to your fans! we were all so happy to meet you that there are no words good enough to describe it. Thank you so much for this wonderful gig, the five of you were brilliant. Thanks for these fabulous songs. You guys made me fly again, and I'm still flying when I think about it. And thank you so much for being so patient to us, and especially to me, I must say! Sorry if I was perhaps a little bit too much insisting, I won't do it anymore. Thank you for the pictures, and thank you for the autograph on my Ipod, I'm so happy about it! I put some sellotape on it, in order to avoid it fading away. In fact, I would never thank you enough.
I'll be there for sure on next February 23th, and on next March 22th (I've bought my tickets), and I'll try my best to go to London on next February 11th.
Best regards,
Laure, your greatest french fan!
Mercredi 15 décembre 2010 à 21:56
Danser comme des cons. Danser pour oublier le noir. Danser pour oublier la guerre. Danser pour oublier la peur. Danser pour recréer la joie n'importe où. Danser comme Jack et Rose sur le Titanic. Parce que finalement, c'est ça la vraie vie; l'allégresse qui réside dans la simplicité. Danser et piétiner les malheurs.
Mercredi 15 décembre 2010 à 21:33
Ca fait dix jours que je repousse cet article à plus tard, mais maintenant ça suffit, je m'y mets.
J'ai repoussé cette publication tout connement car je ne trouvais pas les mots pour décrire cette chanson. Et je ne les trouve toujours pas. Tout comme la première fois que je l'ai écouté d'ailleurs. C'était dans la voiture de Gregor, avec ce dernier et Mariana. Nous rentrions d'un dîner au Paradis du Fruit avec Bilitis; en bref, une sympathique petite réunion entre anciens Quickers. Et Gregor a mis ce CD. Cette chanson. J'en suis restée bouche-bée. L'émotion que suscitait ce bijou de musique me paralysait. Je ne pouvais plus rien dire; tout ce que je pouvais faire, c'était laisser ces frissons parcourir mon corps, les paupières closes, la tête appuyée contre la vitre. Ecouter la mélodie, mêlée à la conversation tranquille de mes amis.
J'ai fini par sommer Gregor de me donner le titre et l'auteur de ce chef-d'oeuvre. Une certaine Emilie Simon, que je ne connaissais pas. Il a ajouté qu'il aimait tout particulièrement cette chanson. Il m'en a fait écouter d'autres de la même artiste, que j'avais tout autant de rajouter dans ma bibliothèque Itunes. Puis, pour me faire plaisir, il a remis Chanson De Toile. Bon sang. Des chansons qui ont le don de vous clouer sur place comme celle-là, y en a pas trente-six.