Music-is-life

Raconte-moi une chanson...

Samedi 23 octobre 2010 à 14:30

I could die right now Clem.
I'm happy.
I've never felt that way before.
I'm just exactly where I want to be.

Samedi 25 septembre 2010 à 12:36

Un air avec lequel nous avons tous grandi, sans jamais savoir quel en était le nom, ni d'où il provenait. Sans même avoir cherché son origine. Un air imprimé dans notre tympan, comme le soleil ancré dans le ciel. On sait qu'il existe, il fait partie de notre quotidien. Mais à force de le côtoyer depuis si longtemps, on n'écoute plus vraiment. Et un jour, il suffit que. On réapprend toute la beauté de ce morceau. Et on pleure, comme dans ce cliché de riche spectateur niché du haut de son balcon avec ses jumelles en or.  On pleure, tant c'est magnifique.






ROMEO
[To JULIET] If I profane with my unworthiest hand
This holy shrine, the gentle fine is this:
My lips, two blushing pilgrims, ready stand
To smooth that rough touch with a tender kiss.
JULIET
Good pilgrim, you do wrong your hand too much,
Which mannerly devotion shows in this;
For saints have hands that pilgrims' hands do touch,
And palm to palm is holy palmers' kiss.
ROMEO
Have not saints lips, and holy palmers too?
JULIET
Ay, pilgrim, lips that they must use in prayer.
ROMEO
O, then, dear saint, let lips do what hands do;
They pray, grant thou, lest faith turn to despair.
JULIET
Saints do not move, though grant for prayers' sake.
ROMEO
Then move not, while my prayer's effect I take.
Thus from my lips, by yours, my sin is purged.
JULIET
Then have my lips the sin that they have took.
ROMEO
Sin from thy lips? O trespass sweetly urged!
Give me my sin again.
JULIET
You kiss by the book.

Lundi 6 septembre 2010 à 13:25

A l'Amour niais.
Parce qu'on a beau dire, y a rien de plus grisant.



Dimanche 5 septembre 2010 à 21:59

Cette chanson, c'est un réveil en pleine la nuit aux côtés de la personne que l'on aime, après avoir passé la soirée à faire l'amour. S'endormir dans des draps humides de sueur mêlée, écraser son crâne sur l'oreiller nimbé de parfum, se nicher tout contre le coeur de l'Autre. Fermer sereinement les yeux. Sombrer, avec un léger sourire comblé aux lèvres, au son de l'ordinateur dont continue à découler tout bas un répertoire entier de chansons mises en mode aléatoire. Se faire doucement tirer de son sommeil par la musique que l'on a omis d'éteindre. Se tourner vers l'Autre instinctivement. Le regarder dormir, écouter sa respiration. Alors on sourit. On sourit, avec un mélange de bienveillance et de niaiserie. On L'embrasse tendrement sur la joue, et l'on se rendort. Tant que nous sommes ensemble, rien ne peut nous arriver.


Cause there's no one like you in the universe.






Version live par ici

Dimanche 29 août 2010 à 17:32

Pour cette chanson, une vidéo atypique; cette fois, je n'ai choisi ni un beau live, ni un clip officiel, mais une vidéo qui caricature très bien le comportement obsessionnel que j'avais à l'égard de Matthieu quand nous étions ensemble (excepté que je ne me vengeais pas sur les personnes qu'il fréquentait).

Depuis son retour après notre première rupture, je craignais sans cesse de le perdre à tout instant. Sans me montrer ouvertement jalouse ni possessive, j'éprouvais besoin constant et absolu de savoir où il était, avec qui il était. S'il ne manquait de rien, si il était en sécurité quoi qu'il fasse, où qu'il aille. Je tenais à ce qu'il obtienne tout ce qu'il y a de mieux. J'avais besoin malgré de le surveiller de loin, ou plutôt de veiller sur lui, de m'assurer que personne ne lui fasse de mal. Observer ses moindres faits et gestes. Et lors de nos ruptures, j'ai très souvent éprouvé le besoin de l'espionner, de soutirer des informations des gens qui le côtoient, de savoir qui il fréquente, de connaître ses horaires de travail, d'avoir ses amis dans mes contacts facebook. Je brûlais d'un amour obsessionnel et compulsif pour lui, je l'idolâtrais, je l'Adorais au sens propre du terme. Je ne vivais que pour lui.
Et, pour tout ça, encore aujourd'hui, cette chanson me fait frissonner.


Since you've gone I've been lost without a trace
I dream at night I can only see your face
I look around but it's you I can't replace
I feel so cold and I long for your embrace
I keep crying baby, baby please





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