Music-is-life

Raconte-moi une chanson...

Mercredi 7 juillet 2010 à 16:36

Cette chanson, c'est le frisson Muse qui te parcourt l'échine.
Cette chanson, tu ne peux l'imaginer qu'en grand, très grand.
Comme si elle n'avait été écrite que pour être jouée dans un stade.
Cette chanson résonne comme un  hymne.

Au stade de France, cette chanson, qui n'est pourtant pas ma préférée, est celle qui m'a le plus marquée.
Au son de la batterie de Dom, qui a donné le coup d'envoi comme les sept coups de théâtre, Matthew a frappé cinq fois dans mains, et a levé son poing. 1-2. 3-4-5. 6! Puis a recommencé. 1-2. 3-4-5. 6! Il nous encourageait à faire comme lui, à vivre ce moment  intensément avec lui. Nous nous sommes pliés docilement, comme des fidèles s'agenouilleraient devant leur dieu.
Les milliers de fans se taisaient religieusement, en levant les mains en l'air, et leurs écrans de portable, illuminant le stade comme un sapin de noël.
Le public était en osmose avec le groupe. 80 000 personnes + 3 artistes = 1. Nous ne formions plus qu'un. Une entité vibrante, possédée par la musique. On aurait dit une secte. Et dieu que j'étais en transe. Mon visage ruisselait de larmes.  Puis, emportée par l'émotion, J'ai chanté à plein poumons, comme d'autres chanteraient la Marseillaise, ou même une louange à Dieu.
Muse est ma religion.


But I'm lost, crushed, cold and confused
With no guiding light left inside.







 



... Quand je dis que Matthew est un dieu, regardez! De la lumière émane de lui! :p

Mercredi 30 juin 2010 à 11:05

Et je ne sais toujours pas pourquoi cette chanson me fait penser à toi. Tu me manques Pierre. Tu me manques grand comme le soleil. Dis, est-ce qu'au moins tu pourrais me dire pourquoi tu m'en veux? Pourquoi tu m'as effacé de ta vie simplement pour quelques mots que l'on s'est dit de travers? Cela me fait tellement mal tu n'essaies pas de te battre pour ne pas me perdre. Comme si je n'avais jamais compté. Tu étais le plus fascinant de tous les meilleurs amis. Le Canal Saint-Martin ne signifie plus rien sans toi. Je voudrais encore rêver la vie en gigantesque avec toi. Me droguer de ta présence, comme autrefois. Je veux que tu me fasses encore planer, Pierre. Je voudrais encore rire avec toi sur les bancs de Paris. Tu me manques Pierre.



Mercredi 30 juin 2010 à 10:55

Ca fait sept mois Matthieu, sept putains de mois que tu me ronges jusqu'à la moelle de mon âme. Ma gorge déborde de toute la rancoeur qui s'est accumulée depuis tout ce temps, tous ces mots que tu ne m'as jamais laissé te dire.  Et j'aimerais te coller un pain dans la gueule Matt, pour t'aimer encore autant après toutes tes saloperies. Je voudrais te frapper jusqu'à ce que tu saignes un peu, exprimer ma colère comme un mec, et après te prendre bras dessus bras dessous comme les garçons dans la cour de récré à l'époque. Je voudrais que tu me plaques encore sur mon lit en me maintenant très fort les poignets afin de me contraindre à écouter toute ta rage éclater. Et je voudrais que tes larmes tombent encore sur mon visage. Et je voudrais que tu poses encore tes lèvres au creux de mon cou pour cicatriser tes griffures. Et je voudrais qu'on pleure ensemble et qu'on panse nos blessures sur l'oreiller, comme autrefois.
Voilà Matthieu, comment à cause de toi, je raconte maintenant l'une des plus belles chansons d'amour qui soient.

Without your love
You're tearing me apart.




Mercredi 30 juin 2010 à 10:24

Cette chanson, c'est Ton corps.Ton corps sublime valsant contre le mien. Ce sont les "Mon Amour... Mon Amour!" expirés au creux de Ton oreille. Ce sont mes ongles enfoncés dans Ta chair soyeuse. Ce sont Tes baisers grisants comme l'opium, et Tes lèvres sur mes seins. Ce sont Tes murmures enjoués. Ce sont mes larmes sur Ton torse. Ce sont mes bras te serrant fort contre moi. Je voudrais Te refaire l'Amour une dernière fois.


I'm gonna take a little time.
A little time to make things over.






Mardi 29 juin 2010 à 19:48

Ca fait maintenant sept heures et quinze jours
Que tu as emporté ton amour.
Je sors tous les soirs et je dors toute la journée.
Depuis que tu es parti je peux faire ce que je veux.
Depuis que tu as emporté ton amour
Je peux voir qui voir qui je veux
Je peux dîner dans un restaurant chic
Mais rien,
J'te dis rien, n'ôte cette mélancolie.
Car rien n'est comparable
Rien n'est comparable à toi.

[...]
Rien ne peut empêcher ces larmes de solitude de tomber.
Dis moi Bébé, où j'ai fauté.
Je pourrais mettre mes bras autour de tous les garçons que je vois
Mais ils ne feraient que me rappeler toi.
Je suis allée chez le médecin, devine ce qu'il m'a dit
Devine ce qu'il m'a dit.
Il m'a dit "tu devrais essayer de t'amuser quoi que tu fasses".
Mais c'est un imbécile.
Car rien n'est comparable à toi.

[...]




Je crois que tout est dit dans la chanson.

clique par ici
(car pas de code embed dispo)




<< Page précédente | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | Page suivante >>

Créer un podcast